artiste/ Pamphyle
France
Début de mes (premiers signes) en 1995 après l’abandon de la figuration, dans la première année je ne me suis très peu interrogé sur le fond de cette nouvelle écriture. Plongeant pleinement dans ces signes ses griffures, j’avais délaissé les tubes pour utiliser le pigment posé directement sur la toile comme un semeur, découvrant avec jouissance et sans restriction cette technique.
Il est pour moi très difficile d’expliquer l’inexplicable, je puise sans volonté pré fondé, en dehors de toute influence, mon esprits dirige mes mains sans les contraindre, elles deviennent la continuité de mes sensation, de mes souvenirs, le reflet des images emmagasinées, de mes aventure passés depuis mon enfance, les vieux murs des allées grattées par la souffrance, par le vieillissement, par la crasse accumulée de décennies en décennies dans les traboules de mon quartier, aux arbres signés par mes soin avec mon opinel dans les forêts du Pilat. La temporalité
En 1996 un critique écrivais (c’est un mur de prison ou se décompteraient les jours, c’est un cahier d’enfance ou s’inscrirait l’apprentissage du comptage) j’ai commencé à comprendre que peut-être rien n’est hasard.
Depuis l’enfance j’ai toujours été curieux du vivre de la liberté de l’exploration de cette vie que je traverse
Pamphyle